PAN samaëlle hiland. _ { 25 %

$PAN samaëlle hiland. _ { 25 % 855236-1$

▬ " Encore une fois, vêtue de mes ailes;
Je m'envole, je t'oublie. C'est ta faute: fallait pas m'aimer. "

~~Mon cher~~ Martial,

$PAN samaëlle hiland. _ { 25 % Keira79$ $PAN samaëlle hiland. _ { 25 % Keira78$
©rhille
PAN S. HILAND ft. keira knightley

Découvrez Scorpions!

IL ETAIT UNE FOIS..

________

IDENTITE

Toute histoire se doit de commencer par son début, ce dernier marqué par un stupide il était une fois; cette fois-ci, nous nous abstiendrons de ce protocole fort déplaisant, et passerons pas quelque chose de plus simple. Face à ma fenêtre, mon regard porte vers le loin. Dubaï s'étant devant à ma personne, et mes yeux noisettes s'illuminent à la vue de ce spectacle qui s'offre à moi chaque jour, mais dont je ne me lasse pourtant pas. Il faut dire que moi, Pan Samaëlle Hiland, je m'embête de bien des choses; la monotonie m'exaspère. Enfin, passons. Mes pupilles persistent à suivre les grandes lignes du paysage qui s'offre à moi, et je ne peux m'empêcher de penser que très loin, au-delà de l'océan, se trouve mon pays natal, la belle et luxueuse Angleterre. Je me rappelle bien de Birmingham, où je suis née lors d'une tempête de neige, le 1 Décembre 1987. C'est d'ailleurs dans cette même ville que mon père, George Hiland, rencontra ma mère, Delilah Hallington. Vous les connaissez sûrement de nom, grâce à leurs professions, soit respectivement homme d'affaires et mannequin reconnue. Monsieur mon père est arabe mais possède une souche anglaise, ce qui explique son prénom, qui s'est perpétué de génération en génération. Quant à ma mère, aucun doute, elle est anglaise. Ce fameux mélange me procure une double-nationalité, arabe-anglaise, il y a peut-être un terme plus scientifique pour la définir mais je ne le connais pas. Les gens sont persuadés qu'avoir des parents célèbres et quelque chose de très sympathique. Oui, non. Quand on est gamin, il n'y a que le points négatifs. Par exemple, mon père étant important à Dubaï depuis le début de sa carrière - qui se répète, encore une fois, de génération en génération - il n'était jamais présent, ma mère était absente également. Par contre, quand on grandit, on découvre autre chose: l'argent. Et ça devient tout de suite plus intéressant. En même temps, tout ne s'achète pas, voyez, je suis célibataire. Mais ça, c'est la faute au fait que je me lasse vite, ni plus ni moins. Il faut dire, j'ai cru trouvé l'amour mais... enfin, vous verrez bien. Ah! un détail important: je me fais bien peu appelé par mon premier prénom, les gens y favorisant Samaëlle. En même temps, Pan, c'est un peu tiré par les cheveux.

________

BIOGRAPHIE

On ne m'a point retrouvé parmi les rose ou même dans n'importe quel autre parterre de fleur. Je suis, comme tout autre être humain, issu d'une union quelquonque, qui donnera un résultat quelquonque. Fin de l'histoire; entre parenthèses, suis-je vraiment humaine ? Bon, je m'égare, je sais pertinemment que ce n'est pas cela que vous désirez entendre. C'est dans un parc britannique que mes géniteurs se rencontrèrent pour la première fois. Elle, assise sur un banc, était belle comme un rayon de soleil. Sa chevelure brune retombait avec grâce sur ses épaules frêles, ses joues étaient roses de vie, bref, un jolie petit brin de femme. Lui, à la forte carrure, ses cheveux noirs parfaitement coiffés, un teint méditerranéen, costume-cravate, une serviette à la main, l'air décidé. Elle flânait, il partait pour une énième réunion. Impossible de deviner que ces deux-là finiraient ensemble. Il faut dire que George Hiland ne regardait que droit devant lui, ses yeux butant vers l'amas d'immeubles gris où il retrouverait la salle où il attendrait ses collègues; il se fichait bien de toutes les belles paires de gambettes qui minaudaient devant lui. Car, avouons-le, mon père était un bel homme, et les femmes n'étaient pas insensibles à son charme - je parle de quand il avait encore vingt-ans bien sûr. J'en suis certaine, il n'aurait jamais remarqué ma mère si elle ne l'avait pas fait. Pile au moment où monsieur Hiland passait devant le banc occupé par la célèbre mannequin Delilah Hallington, un mélodie douce et envoûtante s'échappa des lèvres de cette dernière. Instantanément, il se retourna, et la regarda chanter. Enfin, si je ne m'abuse, elle siflottait plus qu'autre chose. Reste que George était sous le charme, autant pour la belle voix que pour le visage rayonnant qui se tenait face à lui. Très lentement, il quitta son expression crispée habituelle, et aborda un sourire des plus charmants, parait-il. C'est sur ce visage fendu qu'il salua la brunette qui deviendrait ma mère. Rapidement, une discussion dont je ne connais pas le sujet débuta. Des rires, des clins d'œil. Bref, coup de foudre entre les deux jeunes gens. Monsieur Hiland en oublia même d'aller à sa réunion et préféra inviter Delilah dans un restaurant. Dès la fin du dîner, ils savaient qu'ils s'aimaient, et se revirent plusieurs fois, jusqu'à ce que monsieur se décide à demander la demoiselle en mariage; happy ending. Quand ma mère m'a raconté son histoire pour la première fois, il m'est apparu tellement simple. Je parle de l'amour, bien sûr. En grandissant, j'ai découvert qu'il était le coupable de frasques terribles et inimaginables. Ne me dites pas instable, je sais bien que je le suis, inutile de me le rappeler, mais croyez-vous que ce sentiment pervers est innocent dans toute cette histoire ? Enfin bref, nous nous écartons du sujet, je crois.

• • •

Cela fait environ deux heures qu'il neige; une véritable tempête de flocons blancs s'abat sur Birmingham. Ils volètent de ça, et là, libres. Mais pas pour longtemps. En quelques secondes, un congénère en rattrape un autre, et ils finissent collés l'un contre l'autre, sans pouvoir se détacher. Cela, jusqu'à ce qu'il tombe lentement en s'écrasant dans l'épais manteau blanc formé par la neige déjà accumulée. C'est à ce moment là qu'ils meurent, dans une étreinte glacée, dans les bras de l'autre. J'ai du mal à croire que le plus simple des phénomènes météorologique puisse servir de métaphore pour parler de la chose avec un grand a. Mais, encore une fois et ça commence à être saoulant, je sors du contexte. Quelque part dans le plus grand hôpital de la ville, la vie apporte son souffle à un petit nourrisson qui vient de voir le jour. Ce poupon, c'est moi, il y a vingt ans. Mes parents me regardaient fièrement, alors que la sage-femme me brandissait face à eux. Cela dans un vacarme assourdissant, causé par mon premier cri, plutôt bruyant. Intriguée, la jeune femme qui venait d'aider ma mère à me mettre au monde questionna :
- Quel sera le nom de cette petite fille ?
- Pan; Pan, Samaëlle, répondirent mes parents d'une seule et même voix.
Ils affichèrent tous deux une expression béate pendant un long moment, puis mon père déposa un baiser sur le front de ma mère, avant de quitter la pièce avec le médecin. La sage-femme et ma mère se sourirent, et leurs regards portèrent immédiatement vers la fenêtre de la chambre immaculée. La tempête faisait toujours rage dehors, et les flacons bataillaient nerveusement entre eux, luttant contre une force irrépressible. Un peu comme moi, quand j'y pense. Point de malédiction dans cette histoire, mais je ne serais pas contre une pincée de magie.

• • •

Cette leçon me chauffait sérieusement les oreilles; et avec Ann Berry qui chahutait dehors avec son ballon ! Cette petite en avait de la chance d'être encore en maternelle. Moi, je devais affronter l'école élémentaire, et faire mes devoirs le soir, tout cela en regardant ma petite soeur me narguer à la fenêtre.
Je me souviens bien de ce jour-là; les mauvaises surprises s'étaient enchainées, comme des perles qui glissent agilement sur un fil. Dès le matin, notre professeur nous avait fait une interrogation surprise en mathématiques, matière que je n'ai jamais aimé. L'après-midi, alors que nous étions en excursion en campagne, on m'a poussé dans une flaque de boue, ce qui condamna à jamais une robe que j'aimais beaucoup. Bref, jusque là, rien de bien grave par rapport à ce qui allait se jouer le soir même. Après avoir passé une bonne heure sur mes exercices de français, j'ai enfin pu me lever. J'ai appelé "Nany", la jeune femme qui nous servait de nourrice. Avec une expression soulagée, je lui ai tendu mon cahier et elle a vérifié brièvement mon travail, avant de me tendre un bonbon de la "boite à surprise" du nom que je lui donnais. Tout cela avec un grand sourire; Nany avait vraiment les plus beaux du monde. Avec ceux de ma mère, bien sûr. Mais elle, c'était différent: pour que ma "maman" daigne m'accorder son rire cristallin ou la vue de ses dents parfaitement blanches, je devais faire des pieds et des mains. Elle était tellement mystérieuse; douce comme du miel mais amère comme un citron à la fois. Ses regards étaient énigmatiques, sa présence effacée mais imposante... j'ai toujours eu l'impression qu'elle m'aimait bien peu. Mais ce jour-là, elle n'était pas présente, reprenons donc notre histoire, et perçons ses arcanes les plus sombres. Ainsi donc, mes devoirs achevés, je pus me rendre chez ma meilleure amie, Prunille Lewis, qui habitait en face de chez moi. Comme d'habitude, on s'est installée dans sa chambre pour discuter posément. On riait, on lisait des magazines, ... Jusqu'au moment où Calvin fit irruption dans la pièce. Le grand frère de Prunille. Il était mignon comme tout, mais c'était vraiment un idiot de première ! A peine était-il entré qu'il nous lança:
"Venez voir les filles, j'ai un truc trop fort à vous montrez."
Toutes deux curieuses de savoir quoi, nous nous décidâmes à descendre les escaliers à sa suite. Calvin était arrêté dans la cuisine, face à cuisinière. Il avait allumé le gaz, et une flammèche bleuâtre venait de faire son apparition.
- Calvin, qu'est-ce que tu fais ? Ta mère va pas te disputer si elle voit que tu as allumé le gaz ? m'empressais-je de demander.
Décidément, je pouvais vraiment être une sainte nitouche quand chez une amie.
- Alors toi... T'es peut-être mignonne, mais t'es vraiment une sainte nitouche. Maman est même pas là ! répondit-il en haussant les épaules.
Je me souviens lui avoir lancé un regard noir; comme si j'étais vraiment une petite chochotte ! Ca ne me ressemblait pas du tout. J'avais beau être vexée, je ne pouvais m'empêcher de rougir en réécoutant en boucle les paroles qu'il venait de dire: "T'es peut-être mignonne mais ..." ouah ! Lui, Calvin, qui avait deux ans de plus que moi me trouvait mignonne. Même en pensant à cela, je rajoutais:
- Et alors, qu'est-ce que tu voulais nous montrer de si génial ?

| ILS SE MARIERENT..

________PSYCHOLOGIE
[i]La description de votre caractère ici, minimum 1o lignes comportant défauts & qualités de votre personnage.

________

GOÛTS

Les goûts de votre personnage, ce qu'il n'aime pas et ce qu'il aime ainsi que ses passions, etc.

________

VOUS DEVEZ LE SAVOIR

Les choses à savoir sur votre personnage, des secrets par exemple ou des choses qui en font quelqu'un d'hors du commun.

| VECURENT HEUREUX..

________

QUESTIONNAIRE POUR MIEUX VOUS CONNAÎTRE

- Vous, petit être insipide, nous vous donnons le choix entre une personne attirante mais peu perspicace et une personne peu attirante mais intellectuelle, qui choisisez-vous ? |

- L'argent, les enfants, les enfants, l'argent, à choisir ? |

- Perdu au milieu des rayons de vêtements d'un magasin chic, vous vous dirigez en direction de la caisse et tendez vos articles ainsi que votre carte de crédit, la vendeuse vous annonce que cette dernière est erronée, comment réagissez vous ? |

- Dubaï, c'est une ville magnifique, qu'en pensez-vous ? |

- Ce que vous préférez à Dubaï ? |

- D'après vous ou se trouve Dubaï ? Sans réfléchir, sans allez voir ailleurs, écrivez ce qui vous traverse à l'esprit |

| ET EURENT BEAUCOUP D'ENFANTS..

________

RELATIONS

Prénom(s) & Nom

Avatar

nature de la relation ici

| IN THE END

Mon groupe;

Pseudo & âge;

(:

Où avez vous connu le forum;

Commentaires;

Bienvenue & Bonne chance pour ta fiche !

Bienvenue !

(

ll

)

*jesors*

Je veux un lien !